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15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 15:18

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Nous avons mis un temps interminable pour nous rendre à la gare routière de Jombo (1h30) et par conséquent, nous avons raté le dernier bus de 17h pour nous rendre à Borobudur. Décidemment, la gestion de la circulation n’est vraiment pas le fort des indonésiens.

Nous prenons donc un taxi pour parcourir les 42 kilomètres qui nous séparent du temple bouddhiste, ce qui nous coûte le triple, c’est-à-dire, heureusement, seulement 3 € de plus !

indonesie-0463.JPGNous passons la nuit au Lotus, où nous recevons un très bon accueil avec un thé au jasmin que nous dégustons en admirant la vue sur une rizière. Notre hôte nous donne de riches renseignements, ce qui nous évitera de subir de belles arnaques ! Le soir, nous prenons notre repas au LOTUS II, tenu par la même famille. Nous recevons également un très bon accueil et nous mangeons un bon plat pour pas cher.  

Sur les conseils de notre hôte, nous réalisons la visite du temple de Borobudur à 6h, dès son ouverture. Le soleil s’est déjà levé mais nous profitons de la fraîcheur du matin avant que le plus gros des touristes n’arrivent vers 8h.

Il y a beaucoup d’écoles qui viennent visiter ce temple, le plus connu d'Indonésie. Nous sommes très étonnés par leur comportement. En effet, nous constatons que les jeunes pensent plus à prendre les touristes en photos que le monument qu’ils sont venus voir !

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Le manque de considération de leur patrimoine enlève une part d’appréciation de l’aspect mystique de ce temple dont les sculptures dans les murs retracent pourtant magnifiquement la vie de Buddha. Quant à nous, nous sommes époustouflés devant les 362 statues et la vue que l'on aperçoit de ce lieu magique.

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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 10:43

 

Nous quittons l’île sauvage de Sumatra pour nous envoler vers Java. Depuis Bukit Lawang, nous décidons de partager un taxi collectif avec un couple de québecquois, tout aussi subjugués  que nous par la beauté des paysages que nous traversons et les animaux que nous rencontrons sur la route. J’en profite pour me mettre à la page sur les actualités québequoises, le temps passe vite et le trajet n'est pas aussi pesant qu'à l'aller.   

   

Il n’y a pas de vol direct jusqu’à Yogyakarta, nous faisons donc une halte à Java, et malgré notre avance, nous manquons presque notre avion. Il faut dire que la porte d’embarquement de départ a changé entre le moment où notre ticket d’embarquement a été imprimé et le moment où il était l'heure d'embarquer. Enfin ouf... nous attrapons tout juste notre avion !

Arrivés à Yogyakarta, nous prenons un bus pour rejoindre le centre ville, où tout le monde est prêt à nous aider pour trouver notre hôtel. Les gens qui parlent un peu notre langue sont heureux de bavarder avec nous en français.

Dès le premier soir, nous décidons de manger dans la rue, attirés par les musiciens qui jouent devant, et les bonnes odeurs de nourriture. Ils jouent de la musique latine alors cela nous rappelle les mariachis du Yucatan, au Mexique.

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indonesie-0360.JPGNous passerons plusieurs nuits au Setia Kawan Losmen où l’accueil et le service sont très bons et le cadre artistique est agréable, avec des chambres propres et confortables. Il y a même une terrasse sur le toit où prendre un verre ou le petit déjeuner. Pour nous, c’est l’un des endroits où nous nous sommes sentis le mieux pendant notre séjour.

 

 

 

 

 

Le lendemain, nous visitons tous les endroits les plus connus et les plus touristiques. Grâce à notre guide Lonely Planet, nous avons été avisés de toutes les arnaques possibles. Ce qui est étrange, c’est que nous rencontrons sur notre chemin systématiquement le même conducteur de pousse-pousse qui nous donne les mêmes conseils que le livre. On pourrait croire que c'est lui qui l'a écrit ! La providence semble l’avoir mis sur notre chemin, c’est vraiment étrange et agréable à la fois…

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Nous décidons ensuite de nous rendre à l’autre bout de la ville en pousse-pousse pour visiter un quartier connu pour ces boutiques d’art et le fameux restaurant de Via Via.

indonesie-0392.JPGEnfin nous allons au marché aux oiseaux qui parait, sur le plan, à proximité du Taman Sari où nous étions le matin.

Mais au bout de quelques kilomètres de marche, nous nous rendons compte que nous ne sommes pas au bout de nos peines. Alors nous décidons de prendre de nouveau un pousse-pousse mais la route est en pente, c’est difficile de trouver quelqu’un ! Finalement, c’est un vieux monsieur qui se dévoue pour nous emmener, sous un soleil de plomb.

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Alors que nous avons passé nos premiers jours à visiter les principaux sites touristiques de Yogyakarta et des environs, nous cherchons à voir les choses typiques de la vie javanaise. Je voudrais notamment acheter des épices pour réaliser les plats que nous avons appris lors de notre cours de cuisine à Bukit Lawang au marché de fruits et légumes.

A l'hôtel, notre hôte m'aide à écrire la liste de ce dont j'ai besoin pour que ce soit plus facile à demander aux commerçants.

En route, nous rencontrons un homme qui nous conseille plutôt d'y aller dans l'après-midi, lorsque c'est la fin du marché, pour avoir de meilleurs prix.

Heru-s.jpgEn attendant, il nous conseille de nous rendre à l' école d’art traditionnel Batik Novi, la plus réputée en la matière.  Un des professeurs que nous appellerons Fernandel (parce qu’il lui ressemble, sauf qu’il est noir et plus petit), nous explique comment réaliser un Batik et comment distinguer un vrai d’un faux.

Les couleurs sont vraiment magnifiques issues de colorants naturels comme le safran. A l'occasion de notre visite, nous pouvons observer des élèves en plein travail. Fernandel est également fier de nous montrer des coupures de presse française évoquant les expositions qu'il a réalisées en France.

Une fois sortis de l'école, nous repartons à la recherche du marché aux épices. A chaque fois que nous commençons à sortir notre plan pour trouver notre chemin, une personne apparaît pour nous guider. La population locale est vraiment accueillante et bienveillante, c'est très agréable. On dirait que la providence est avec nous.    

indonesie 0504Nous rencontrons par hasard un homme qui travaille dans la clinique d’à côté. Il nous emmène donc jusqu’au marché aux épices, dans le pasar Beringhardo et nous présente un homme qui va nous aider à trouver les épices qui sont sur ma liste. Ensuite un jeune homme qui est sans doute de sa famille, nous emmène vers d’autres stands pour acheter des tissus avec des motifs Batik traditionnels.

 

 

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Les gens sont très contents de nous voir car peu de touristes s’aventurent au fond du Pasar Beringhargo !

Heureusement que Fernandel nous avait conseillé de passer par JL Ketandavi  Kampsengl Jl Malioboro car en passant par la rue principale, nous aurions du traverser tout le marché de vêtements et il y a énormément de monde.  

 

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Nous remontons ensuite sur JL Malioboro, mais il fait tellement chaud que nous n’avons pas la force de faire plus d’emplettes. Nous optons plutôt pour un massage javanais d’une heure, puis Guillaume se fait couper les cheveux pendant que je fais une manucure. Nous sommes beaucoup plus détendus. Cela fait vraiment du bien car on avait vraiment mal partout !  

 

Il fait encore vraiment chaud. Je voulais aller voir un spectacle de danse traditionnelle à l'autre bout de la ville mais je n’ai pas la force avec cette chaleur …  

 

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10 août 2013 6 10 /08 /août /2013 10:55

 

Nous quittons la sérénité de la région du Lac Toba pour la jungle de Bukit Lawang. Le tumulte des transports durera 11h.               

indonesie 0088Les  trajets en bus sont chaotiques et dès que l’on se trouve à l’arrêt, on manque d’air ! De plus, les gens fument à l’intérieur… nous ne sommes plus habitués ! Alors quand nous approchons de notre but et parce que nous sommes épuisés, nous décidons de prendre un tuktuk pour aller     jusqu’à la Rain Forest (forêt tropicale). Je crois que c'est l'un des voyages les plus épique que j'ai réalisé !      

Nous sommes à quatre sur le tutuk avec nos deux gros sacs, c’est vraiment folklo ! Nous demandons à notre compagnon de voyage si par hasard il connait le Rain Forest Homestay. Il s’avère qu’il est tenu par sa cousine, Nora. Il décide donc de nous emmener, et en profite pour nous parler de son travail. Il est guide dans la jungle : cela tombe bien, nous avons prévu d’y faire un trek !

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Après une bonne nuit de sommeil, nous partons pour deux jours vêtus de tenues sportives et de nos chaussures de rando, car il ne s’agit pas d’une balade. Notre groupe se compose de 5 personnes venues des quatre coins du monde : Maroussa, d’origine française vient de Singapour où elle a vécu quelques mois ; Maria est espagnole et Tess philippine , elles voyagent pendant plusieurs mois.      

Les chemins de forêts sont peu pentus à l’orée du bois, mais très vite les chemins se constituent de « up & down » (montées et descentes) et la nature devient hostile.      

 

 

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Mais cela vaut le coup car nous pouvons observer toutes sortes de singes tels que les makacs, les singes de Sir Thomas et surtout…les orangs-outangs ! Nous avons même l’occasion de rencontrer Mina, une femelle qui a vécu pendant longtemps en captivité.    

P5050105 Alors que nous sortons notre déjeuner, elle saute sur nous. Notre guide nous demande de partir en courant pendant qu’il fait diversion. C’est un grand moment d’émotion : la légende est devenue réalité… Heureusement que notre guide, Josef, est sympa et expérimenté ! Nous en sortons indemnes et lui, avec quelques égratignures.      

Après cette aventure, nous continuons notre périple sous la pluie. Les chemins sont de plus en plus difficiles et glissants. Il faut s’accrocher aux branches pour ne pas tomber dans le vide. Lorsque nous arrivons enfin au campement, nous sommes trempés, plein de boue et de sueur. J’ai mal partout mais je suis heureuse d’avoir vu cette nature sauvage extraordinaire.    

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Nous passons une soirée tranquille au coin du feu après s’être rincés dans la rivière… non loin d'un Komodo. Cet animal préhistorique est vraiment impressionnant. Il arrive même à effrayer les singes voleurs !  

 

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Nos hôtes nous ont confectionnés un festin au milieu de la jungle, c’est impressionnant : poulet sauce soja douce, curry de courgettes et de pommes de terre. La manière dont ils ont confectionné les plats auraient pu  nous faire penser qu'ils disposaient d'une vrai cuisine. C’est succulent. En dessert, nous avons le droit à des fruits magnifiquement découpés. Nous sommes vraiment gâtés !  

 

Le lendemain, Guillaume et Maroussa décident de poursuivre le périple dans une nature encore plus hostile. Il n’y a plus de chemin, il faut tenir en équilibre sur les troncs d’arbres et s’accorcher aux lianes, au milieu du vide. Pour ma part, ma sensation de vertige est trop grande et je préfère longer la rivière avec Tess et Maria, les deux autres membres de notre groupe.    

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Nous nous rejoignons au bord d’une cascade, pour une séance d’hydromassage. Sous la forte tombée d'eau, se trouve de l’argile avec laquelle nous improvisons quelques soins du visage et du corps. Au milieu de se véritable spa naturel, on se prendrait presque pour les rois de la jungle !  

 

 

 

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Ensuite, nous prenons les raftings improvisés par nos guides pour descendre la rivière. Il s’agit d’énormes pneus solidement attachés entre eux. Cette petite balade nautique clôt parfaitement l’aventure.      

Alors que nous arrivons en début d’après-midi au Rain Forest Homestay, nous allons immédiatement voir Nora pour savoir s’il serait possible de prendre un cours de cuisine dans son auberge, car j’avais lu que cela était possible dans Lonely Planet.    

Après une bonne sieste, nous commençons donc notre cours. Nous avons demandé s’il était possible de reproduire les plats que nous avions mangés dans la jungle. Heureusement, tous les aliments se trouvent à l’auberge. Nous apprenons en plus à réaliser des galettes de pommes de terre car on trouve facilement tous les ingrédients dans notre pays.    

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Les rôles sont répartis : je fais le commis pendant que Maroussa note les recettes et Guillaume prend les photos !    

Et maintenant à vous, enjoy cooking indonesian food ! (éclatez-vous en cuisant indonésien)

 

 

Poulet Soja Sweet and Sour

 

 

 

Ingrédients  pour 3 personnes:

 

3 morceaux de poulet au choix 

2 pommes de terre 

1 candle nut 

1 noix de muscade 

1 grosse pincée de poivre blanc                

1 grosse pousse de gingembre 

1 tomate 

1 petit oignon 

2 gousses d’ail 

2 feuilles de salam

1 Oignon nouveau

1 morceau de galagan (= sorte de gingembre)

1 pousse de tamari 

De la sauce soja 

1 cardamone 

De l’anis

Du sucre brun

Du lait de coco

 

Faire frire les patates et le poulet à feu vif sans le faire trop cuire (environ 10 min en remuant régulièrement jusqu’à ce que la viande soit dorée).  

Mettre à blender dans un mixer et mixer à fond  la candle nut, la noix de muscade, une grosse pincée de poivre blanc, la grosse pousse de gingembre, la tomate, le petit oignon, les 2 gousses d’ail.

Ecraser rapidement l’oignon nouveau et le galagan. Faire un nœud avec l’oignon nouveau.

Verser le mélange du blender dans un wok à feu doux et remuer pendant 2 / 3 minutes. Insérer les feuilles de salam, la racine de galagan écrasée et l’oignon nouveau noué.

Remuer énergiquement et ajouter une pincée de sel

Insérer le poulet et les patates. Remuer pendant 2 minutes.

Verser le lait de coconut (environ 1 cannette). Mettre à feu vif et remuer continuellement jusqu’à ce que le tout boue. A ce moment insérer la cardamone, une pincée d’anis - si on le souhaite on peut mettre du cinamon – le sucre brun (2 cuillérées environ), le tamari et la sauce soja. La couleur doit être brune. Laisser bouillir 3 minutes.

 

A la toute fin ajouter des petits morceaux d’oignon nouveau pour donner de la couleur.

Bon ap !!

 

Légumes au Curry

 

Ingrédients pour 3 personnes

1 pomme de terre

1 carotte

3 haricots

 Queques morceaux de courges

Du céleri chinois (avec les feuilles)

Du chou blanc (+ tous les légumes que l’on souhaite)

1 tomate verte (acide) ou bien du ‘asam cekala’

1 oignon normal

1 Bittle nut

Du poivre blanc moulu (1 cuillère à café)

Du galagan (1 gros cm)

1 pousse de gingembre

1 morceau de tamari (c’est ce qui rend le curry jaune)

3 piments (ou plus si on aime épicé)

1 oignon nouveau

2 morceaux d’ail

2 feuilles de salam

Du garianda (petits grains jaunes)

2 cannettes de lait de coco

Cardamone

Anis étoilé

 

Faire cuire d’abord les courges, la pomme de terre et la carotte. Les couper en rondelles de 2 cm environ. Laisser à feu doux.

Couper le reste des légumes en petits morceaux.

Eplucher le gingembre et le tamari. Moudre le gingembre, le tamari, l’ail, l’oignon normal, la bittle nut, le poivre, le galagan, les piments, le garianda.

Faire revenir la mixture à feu très vif dans une cuillère à soupe d’huile. Insérer les feuilles de laurier, l’oignon nouveau (préalablement écrasé et noué) et la tomate (ou le truc acide).

Puis insérer les courges, patates et carottes. Attendre un peu en remuant.

Puis insérer 1 cannette de lait de coco et une pincée de sel. Remuer continuellement et attendre jusqu’à ce que la sauce ait réduite (toujours à feu doux). Les légumes doivent être tendres.

Rajouter ensuite la deuxième cannette de lait de coco et le reste des légumes. Mettre à feu vif et attendre (environ 10 min) jusqu’à ce que cela boue.

Rajouter le cardamone et l’anis. A la fin ajouter quelques morceaux d’oignon nouveau pour donner de la couleur.

Bon ap !! ;)

Indonesian Potatoe Cake

 

 

Ingrédients pour 3 personnes

3 Pommes de terre

1 pincée de sel

1 pincée de poivre

Des oignons fris (ca s’achète en paquet en France)

1 œuf

1 oignon

2 branches de céleri avec feuille

 

Casser l’œuf entier et le battre énergiquement.

Eplucher et couper les pommes de terre en rondelles. Les faire frire dans beaucoup d’huile environ 10 min puis les retirer lorsqu’elles sont tendres

Les mettre dans un saladier, ajouter sel, poivre, oignon et céleri hâchés, une poignée d’oignons fris et tout écraser ensemble bien fort.

Avec la mixture, faire des galettes (environ 6).

Taille = il faut que la galette tienne dans la paume d’une main.

Tremper les galettes dans l’œuf, puis les déposer dans de l’huile et faire frire à feu doux pendant environ 15 min en retournant régulièrement.

Bon ap ! ;)

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 10:17

 

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Depuis notre départ en France, nous avons emprunté à peu près tous les modes de transports qui existent pour rejoindre le lac Toba, un petit coin de paradis, sur l’Ile de Sumatra, à l’Est de la Malaisie et au Nord de Java.

Nous passons 2 nuits à Tuk Tuk, un petit village donnant sur le lac. L’ambiance est tranquille et apaisante. Après le tumulte du voyage en avion, bus, taxi et bateau, nous allons enfin pouvoir nous reposer, en contemplant l'étendue d'eau surplombée de végétation tropicale et de volcans.  

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Nous profitons d’une balade en vélo pour nous dégourdir les jambes après être restés assis pendant plusieurs heures dans les transports la veille, autour du lac et à travers les villages. A Ambarati se trouvent les fauteuils de pierre où se réunissait le conseil des anciens. Dans ce lieu, le temps semble s’être arrêté, tout est resté intact.

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Sur notre route, nous observons la récolte du riz, avec de grosses machines bruyantes qui tournent au fuel, ce qui contraste avec la paisible nature autour.      

Nous poursuivons notre balade jusqu’au village de Tombok où nous visitons le tombeau du roi Sidabutar, un roi batak qui s’est converti au christianisme. Alors que nous recherchons ce lieu, des jeunes filles nous interpellent et nous suivent pour nous prendre en photos.

Quelques minutes après, lorsque je me retourne, il y en a une dizaine qui crie « missy, missy !». Guillaume a l’habitude de voyager en Asie et d'être suivi par des photographes amateurs. Mais pour moi, c’est la première fois et j’ai vraiment l’impression de me sentir comme une star avec une horde de paparazzi !  

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Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons Chez Jenny pour manger du poisson grillé, fraîchement pêché du lac.

Après cette journée bien chaude, nous rentrons pour nous prélassé et contempler la nature, tout simplement.

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